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Oeuvre des Familles de Schoenstatt au Burundi

mardi 25 mai 2010

(Septième enseignement) MA VIE, UNE HISTOIRE D'ALLIANCE







Objetif : Ma vie acquiert sa vraie valeur et son vrai sens dans la mesure où elle est impliquée dans l'alliance que Dieu a conclue avec moi.

Editorial « Sous la protection de Marie Reine, et selon le sacerdoce commun, soyons témoins du Christ dans nos foyers et nos communautés de base comme le Père Kentenich. » (la devise)
« Avec amour, soyons à l'écoute et au service des pauvres »
(la résolution)
Chères familles de Schoenstatt, dans le présent numéro, nous réfléchissons ensemble sur la mission urgente du schoenstattien d'annoncer aujourd'hui à tous les peuples la Bonne Nouvelle de la foi en la Providence divine. Cette Bonne Nouvelle de la Providence divine est la bienvenue dans la mesure où l'homme d’aujourd'hui en a urgemment besoin ! Celui-ci a besoin des yeux ouverts, qui portent loin le regard, pour ne pas les fixer uniquement au sol. L'homme moderne a besoin des yeux de la foi, capables de percevoir les oeuvres du Dieu Providence. Cet homme a besoin de mettre sa confiance en la Providence divine. Une telle foi est l'unique capable de l'aider à accueillir et à bien interpréter les événements de sa vie quotidienne. À l'homme moderne manque quelque chose : la meilleure clé pour solutionner les problèmes de sa vie quotidienne. Une telle solution n'exige pas seulement des connaissances intellectuelles. Elle exige surtout la foi, l'espérance et la charité. Il est urgent aux choenstattiens d'annoncer à tout le monde la Bonne Nouvelle de "l'esprit d'enfance". Les familles de schoenstatt sont ainsi appelées à être des témoins de « la foi en la Providence divine. » Ainsi deviendront-elles des instruments de la MTA, capables de l'aider dans sa mission de "former l'homme nouveau dans la communauté nouvelle"; une façon aussi de vivre leur devise et leur résolution de l'année.

Schoenstatt répond à ta question répétitive de connaître la volonté de Dieu.
« Observe la nature et l'ordre de la création dans ta vie quotidienne et dans ton histoire personnelle. C'est par cette méthode de scruter les événements que tu peux découvrir la volonté de Dieu sur toi.»


Le rythme de notre vie quotidienne nous tend des pièges et nous pousse à réfléchir sur le sens de notre vie. Pour tant de personnes, le but de la vie ne se réfère qu'à la famille, les études ou le travail commode. D'autres mettent au centre de leur vie les difficultés économiques, les exigences d'une vie laborieuse, les conflits sociaux, les rendements exigés par leurs études. Pas mal de gens passent beaucoup de leur temps à regarder le cinéma, à écouter la radio, à parler et répondre au téléphone, hypnotisés par la télévision; ou tout simplement, à rencontrer les autres pour passer le temps, afin d'oublier les problèmes qu'ils ont. Il est vrai, dans les moments cruciaux de notre vie, nous nous posons tant de questions : quel est le sens de notre vie ? Pourquoi sommes-nous là ? Pourquoi tant d'efforts, tant de sacrifices, tant de renoncements ? Nous ne faisons pas l'expérience de vivre; mais plutôt de subir la vie qui nous impose son rythme, ses formes à elle, ses objectifs. Avons-nous déjà pris conscience que nous sommes redevenus païens parce que nous n'avons plus de connexion vitale, personnelle, avec notre Père céleste ? Le rythme de la vie actuelle nous porte, presque inconsciemment en un processus de vie individualiste (dans des îlots à nous : nka ka gati ka waga kuma kakisenya) : nous sommes pleins de contact et relations extérieures mais, sans liens internes, sans enracinement intérieur au sens profond de notre existence.

Nous devons apprendre à vivre mais, dignement. Notre vie, nous l'avons reçue de Dieu. Il nous l'a donnée en cadeau comme expression maximale de son amour afin que nous vivions avec... Dieu créa chacun de nous avec un amour personnel; non comme créature en général; plutôt il me créa, moi, toi. Sur la croix, Jésus a donné sa vie pour moi, pour toi, pour chacun.


Il nous invita à participer à sa création, à construire avec Lui ce monde qui lui appartient. Le Père céleste invite chacun de ses enfants à mettre du sien dans l'oeuvre de tous pour le développement de la grande famille humaine.
Afin de nous rapprocher davantage de son amour, Dieu nous donna en cadeau sa Mère pour qu'elle soit en retour notre Mère et que notre alliance avec elle soit la garantie de notre conscience de l’alliance avec Dieu. À ce niveau, nous aimerions rester attentifs à la Providence divine afin de reconnaître les innombrables démonstrations de son amour dans notre vie. C'est sûr que nous devons construire le présent et préparer l'avenir; nous le ferons en nous basant sur le passé qui nous a marqué avec de bonnes et mauvaises expériences et qui, d'une certaine manière, ont conditionné nos attitudes et comportements actuels. Nous aimerions parcourir notre histoire passée avec le regard de l'enfant qui découvre la main de son Père, et pouvoir constater comme nous a accompagné l'amour de Marie dès notre enfance, parce que en définitive, notre histoire de vie personnelle est une histoire d'alliance d'amour et non une série d'événements séparés et capricieux. L'amour de Dieu le Père est intervenu constamment pour donner à ces événements un sens. Dieu m'aima le premier, avant mes parents et avant que je m'aime moi-même, d'un amour infiniment intense que ni moi, ni quiconque ne pourrait avoir pour moi. Mêlé moi-même dans mes événements, actions, pensées, douleurs, succès, échecs, c'est l'amour de Dieu qui se manifeste dans ma vie d'alliance. C'est cet amour que je voudrais reconnaître maintenant comme le fil conducteur de ma vie, la lumière qui oriente mes pas, la force qui me soutient dans le meilleur comme dans le pire.
"Je peux tout en celui qui me rend fort" (Fil 4,13),

Sans doute que si je regardais ma vie avec un regard de la foi, je découvrirais comme l'amour de Dieu a marqué ma vie: Il y aura des expériences profondes, ses appels qui se répètent, me signalant plus clairement mon identité. Je découvrirais avec certitude les talents qu'il m’a donnés en cadeau, les vraies valeurs qui font ma vie. Ce parcours de mon histoire d'alliance me montrera que ma navigation ne fut pas à la dérive, mais plutôt que le Seigneur a été le guide de ma barque, a aménagé pour ma vie une route sûre, me démontrant ainsi l'amour par lequel il m'a aimé. J'expérimenterai aussi comme il me chercha quand j'avais perdu le chemin, comme il me pardonna et me donna les forces nécessaires pour aller de l'avant.
(Cf. le livre Twitegurira Insezerano y'Urukundo, page 62- 64 - Ficha C-1)

Il y a quelque chose que les chrétiens et même les familles de Schoenstatt sont en train de négliger aujourd'hui: prendre suffisamment de temps pour la méditation. Celle-ci est indispensable. La vie chrétienne nous interpelle de prévoir un moment opportun au moins une fois les trois mois, (une demi-journée) pour jeter un regard en arrière et voir comment nous avons vécu avec le Seigneur, la place que nous lui avons accordée dans notre vie; la façon dont nous avons obéi à lui; la façon dont nous lui avons demandé pardon et surtout la manière dont nous avons admiré sa force, son amour et sa miséricorde. Il y a tant de personnes qui pensent que faire un regard en arrière n'est qu'une perte de temps, une façon de déterrer ce qui a été décomposé, se disant ceci : ce qui s'est passé a passé, c'est le présent qui importe. Il y en a même, et nombreux sont-ils, qui ont peur de méditer et remédier sur les événements qui se sont passés. Voici le conseil que nous donne notre Père et Fondateur, le Père Joseph Kentenich :


«Tâchez de ménager un temps de méditation aux événements de votre vie comme quelqu'un qui prend son temps pour sucer un bonbon. Comme un bonbon bien sucé fait du bien à l'organisme humain, ainsi les événements de notre vie, quand ils sont bien ruminés avec amour sont source de bénédiction à la personne. Évitez donc d'entretenir en vous les mauvaises pensées comme : Rien à faire; de ce qui est arrivé, je n'y puis rien; je ne dois que subir l'événement; ou encore pire : la vie est ainsi faite. De telles pensées donnent des conséquences fâcheuses dans la vie morale comme dans la vie physique de la personne qui les entretient. Je les comparerais à une nourriture mal préparée qui, une fois consommée donne des conséquences
fâcheuses .»
« Dieu est bon et tout ce qu'il fait est bon ! » Cette phrase pourrait t'aider à méditer sur ton passé. Une telle méditation t'aidera à perfectionner tes relations avec Dieu et fera grandir en toi l'amour et la confiance, parce que tu découvriras que le Bon Dieu est un bon Père qui t'aime, qui s'occupe de toi, qui te protège, qui veille sur ta sécurité, qui te rend fort, qui ne te veut que du bien.
S'agissant de la famille, même si c'est difficile pour les conjoints, veuillez ménager pour vous des moments propices de méditation ensemble, afin de pouvoir découvrir la main de Dieu à travers les événements qui sont arrivés dans votre famille; heureux ou malheureux. Posez-vous ces questions : pourquoi le Bon Dieu a permis que ceci ou cela arrive dans notre vie? Qu'est -ce qu'il a voulu nous dire? Comment nous nous sommes comportés dans cette situation ? Par cet événement heureux ou malheureux, quel message le Bon Dieu nous donne ?
( le chômage, une prière non exaucée, les maladies répétitives, les problèmes familiaux …).

En méditant ensemble sur les événements, vous comprendrez mieux combien Dieu est Amour, combien il est bon Pasteur, et qu'il a une mission spécifique pour vous. Et cela éveillera en vous une plus grande confiance, un plus grand dévouement à son service, et vous serez ses témoins devant vos enfants et vos voisins. Cela vous aidera aussi à cultiver la pensée positive dans vos familles, et vous comprendrez que tout n'est que grâce pour une famille qui croit.

La méditation a été le quotidien de la Sainte Vierge Marie : elle méditait tout dans son coeur. Elle avait compris que
« Dieu est bon et que tout ce qu'il fait est bon. » Elle accueillait tous les événements avec un oui de servante du Seigneur: « Je suis la servante du Seigneur, qu'il me soit fait selon votre parole». Elle savait très bien que le revers de la croix c'est le salut. Dieu lui a fait parcourir un long chemin de croix afin de lui faire comprendre mieux la puissance de son amour.
Dans sa vie, le Père Kentenich a essayé d'imiter la Sainte Vierge Marie. Avant toute action, Père Kentenich priait d'abord pour l'offrir à Dieu et attendait un signe du ciel pour confirmer sa volonté, ce qu'il appelait : la porte ouverte. Quand Dieu lui avait éclairé et ouvert le chemin, il commençait à travailler. Avant de voir le signe, il ne pouvait pas être sûr que c'est la volonté de Dieu. Il nous dit que Dieu nous parle à travers :
1. La création
2. Les événements
3. Les personnes
4. La voix du coeur.



• Les exemples sont nombreux dans sa vie.
• Dieu lui a révélé que sa volonté est que la Sainte Vierge Marie s'installe au Sanctuaire de Schoenstatt. C'était après une lecture d'un article dans un journal.
• Le Père Kentenich a compris que Schoenstatt est une oeuvre de Dieu appelée à se répandre à travers le monde entier par le triste biais de la guerre mondiale, parce que les jeunes gens qui avaient commencé le Mouvement avec lui devaient aller au front, et ainsi, le Mouvement apostolique de Schoenstatt devenait international par le fait même.
• Grâce à la prière, le Bon Dieu a donné au Père Kentenich les forces nécessaires d'aller librement volontiers au camp de concentration de Dachau où il a pu fonder l'Institut des Frères de Marie et l'Oeuvre des familles de Schoenstatt …

Ces exemples de nos guides spirituels pourraient nous encourager aussi à prendre au sérieux l'importance de méditer sur notre passé. La méditation nous permettra de vivre le présent et nous redonnera confiance en nous-mêmes, en Dieu et en la Sainte Vierge Marie qui nous protège, nous aime et nous envoie en mission apostolique. Cette foi et cette confiance en Dieu et en la Sainte Vierge nous aident à marcher, sûrs de nous - mêmes, parce que, appuyés sur la force de Dieu. Dans pareils cas, les questions sans réponse cessent. Par exemple :
Qu'est-ce que nous mangerons demain ? Que va-t-il se passer demain et après-demain ? Les dossiers devant moi, comment je vais m'en sortir ? Quel est l'avenir de notre famille ? De telles questions sans réponses ne sont que des troubles - fêtes dans la famille. Ce sont des questions qui fatiguent inutilement et usent beaucoup de forces.

Frères et soeurs, apprenez à vous consacrer entièrement à Dieu et à la Sainte Vierge Marie pour leur confier vos vies, vos familles, votre travail … Ainsi vous aurez mis en pratique les paroles de Jésus qui nous dit : « Si vous ne devenez pas comme de petits-enfants, jamais vous n'entrerez dans le royaume des cieux. » Adoptons ce bon comportement et demandons à notre Mère la Sainte Vierge Marie, de nous donner l'esprit de l'enfant, pour que nous puissions lui consacrer tout, sans réserve, en toute confiance, comme un enfant met toute sa confiance en sa mère.
Pour terminer, écoutons de nouveau notre Père et fondateur, le Père Joseph Kentenich :
«À cette nouvelle façon de voir et de comprendre les choses, ajoutons la nouvelle façon de la culture de renouvellement intérieur. Les papes du siècle passé ont indiqué que la force de la famille dépend de sa relation avec Dieu. Nous n'avons qu'un seul Père, le Père céleste, et une seule Mère, la Mère et Reine du ciel. Nous sommes tous des enfants de Dieu. Le lien qui nous unit à Dieu est très fort. D'autre part, entre nous, lien qui nous unit est très important. Lorsque nous prions les uns pour les autres, la prière affermit notre unité et notre fraternité. Le partage du bonheur et du malheur ainsi que la solidarité mutuelle, devrait nous aider de renforcer l'unité entre nous, et nous rendre conscient que nous partageons le même sort. Lorsque nous aurons compris la famille dans ce sens, que ce soit la famille nucléaire ou une communauté quelconque, nous lutterons contre l'individualisme, et nous serons plus aptes à l'auto éducation et la vie communautaire. Ainsi nous serons au service de nos familles et celles-ci seront à notre service.
Tel est notre devoir. »

Je termine encore une fois en vous rappelant que ce mois de mai est un mois particulier pour tout schoenstattien. C'est le mois auquel nous sommes invités à réciter et méditer le rosaire ainsi que la vie de la Sainte Vierge Marie. C'est le mois où nous sommes invités à offrir des sacrifices mieux qu'auparavant, pour le capital de grâces, à l'exemple de Joseph Engling, lui qui faisait tout son possible en l'honneur de la Mère trois fois admirable, jusqu'à donner sa vie entière pour la prospérité de la famille de Schoenstatt. Si vous vous consacrez entièrement à la Sainte Vierge, à son tour, elle vous bénira et vous donnera les forces nécessaires de lui servir.


Questions :

1. Qu'est-ce qui m'a saisi de cet enseignement ?
2. Dans ma vie, quand est-ce que Dieu m'a témoigné qu'il était un Père qui veille sur moi ?
3. Quand est-ce que la Sainte Vierge Marie m'a témoigné qu'elle est une Mère qui veille sur moi ? De ce qui m'a saisi, qu'est-ce qui est inoubliable ? De tout cela qui m'a saisi, qu'est-ce qui m'a le mieux éclairé ?

De cette méthode de Dieu de me transmettre son message, quelle a été ma réponse ? L'ai-je bien accueilli ou je suis resté indifférent ?


 QUELQUES INFORMATIONS

1. En date du 02/ 05/ 2010, les couples de l’Oeuvre des Familles de Schoenstatt de la mairie de Bujumbura s’étaient réunues dans une rencontre de fraternisation qu’on a appelé, « Spécial Couples » qui a été dirigée par notre Aumônier Père Evode BIGIRIMANA, aidé par le couple Joseph NTANYOTORA. C’était vraiment spécial !!!

2. Pour vous qui avez accès sur l’internet, vous pouvez retrouver ces enseignements (en français) sur le blog , mais aussi vous pouvez nous écrire sur à l’adresse ofsburundi@gmail.com et nous partager, soit vos espériences ou témoignages. Merci !

TEMOIGNAGE

Frères et soeurs,

Permettez-nous de vous raconter comment notre groupe à la succursale Gishiha est en train d'essayer de mettre en pratique la résolution : "Avec amour, soyons à l'écoute et au service des pauvres".

Le dimanche 4/4/2010, à la fête de Pâques, notre groupe a rendu visite à un pauvre du nom de Ngezahayo. Nous lui avons apporté un cadeau. Nous avons pris le temps de causer avec lui et nous l'avons encouragé dans sa situation de pauvreté et faiblesse de santé. Il était très content. Au moment des adieux, son visage était radieux de courage et de joie.
Notre souhait est que vous mettiez en pratique la résolution que nous nous sommes fixée nous-mêmes.

Merci.


La famille NDUWIMANA Isaac et NDAYISENGA Liduine
Paroisse MURAGO
Succursale Gishiha
Diocèse Bururi



Œuvre des familles de Schoenstatt au Burundi, Mont Sion Gikungu – B.P. 374 BUJUMBURA –
Tél. 22 23 40 72 – 77797885
e- mail : p.evodebi@schoenstatt.net
ofsburundi@gmail.com

BCB : N° de compte : 00201- 0031 511- 33

Journée de Fraternité pour les couples de la Mairie de Bujumbura réunis dans l'Oeuvre des Familles de Schoenstatt


Ce jour du 2 mai 2010 a été un jour de grâces. Plus de 100 couples se s'étaient réunis.
Lors de la messe, l'amour des conjoints nous a été défini sur trois niveaux, le troisième étant
d'être l'un pour l'autre sans exlusivité, entièrement pour sa moitié. Au moment d'enseignement
et partage,
notre constat a été que ce jour était l'unique jusqu'alors, on en voudrait plusieurs pareils.
Pour ceux qui ont été emepêchés, leurs moitié ont décidé de tout transmettre goutte à goutte
après invocation du Saint Esprit; pour leur préparer un moment favorable de réception. Louons
le Seigneur en tout temps.
Jean Bosco NIRAGIRA et Odette


NB: Chers internautes, chers membres du Blog de l'Oeuvre des Familles au Burundi. Nous sommes sûr que vous attendez impatiemment les prochains articles, et normalement on devrait déjà avoir publier un article sur la journée de Fraternisation du 02 Mai 2010, mais faute de temps suffisant pour mieux préparer cet article, nous vous proposons déjà un avant goût!! vous pouvez aussi retrouvez le présent article dans la lettre d'alliance n° 6 du 18 juin 2010 prochain. Merci!