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Oeuvre des Familles de Schoenstatt au Burundi

mardi 13 avril 2010

Cinquième enseignement L’ALLIANCE D’AMOUR DU 18.10.1914


Editorial
« Sous la protection de Marie Reine, et selon le sacerdoce commun, soyons témoins du Christ dans nos foyers et nos communautés de base, comme le Père Kentenich »

.«C'est surtout dans la famille chrétienne, riche des grâces et des exigences du sacrement de mariage, que dès leur plus jeune âge, les enfants doivent, conformément à la foi reçue au baptême, apprendre à découvrir Dieu et à l'honorer ainsi qu'à aimer le prochain». Par ces mots de la déclaration sur l’éducation chrétienne, un document du Concile Vatican II, nous saisissons combien la famille chrétienne, a une grande responsabilité dans l’Eglise : faire découvrir Dieu aux enfants et leur faire aimer le prochain. On ne peut découvrir Dieu qu’en communiquant avec lui au moyen de la prière et en aimant le prochain. Si telle est la condition pour la vie familiale, il s’avère important de réserver une place à Dieu dans les maisons familiales et de faire des actes concrets d’amour envers le prochain et surtout le prochain en difficulté qui mendie notre soutien. En entrant à Schoenstatt, la première expérience s’avère être justement ce contact avec Dieu par le truchement de la Vierge Marie dans son Sanctuaire, un lieu par excellence de grâce sous-toutes ses formes. C’est à partir du sanctuaire que beaucoup découvrent leur apostolat dans l’Eglise. N’est-ce pas que le sanctuaire domestique joue le même rôle que le sanctuaire originel et les sanctuaires filiaux dans l’ordre de la grâce ? Laissons ce numéro nous faire découvrir la place du sanctuaire dans l’alliance d’amour du 18.10.1914 et les répercutions de cette alliance dans la vie des familles.




INTRODUCTION


Il est difficile d’expliquer l’événement du 18.10.1914 parce que la vie possède une si grande richesse dont on ne peut traduire facilement par les mots. Le 18 octobre 1914, jour de la fondation du Mouvement apostolique de Schoenstatt, il y eut un événement d’une très grande densité vitale hors du commun.En cet événement, Dieu se révèle de nouveau dans l’histoire et s’approche de nous en Marie pour enrichir l’alliance scellée en Christ avec son peuple et la rend féconde, en une forme originale, pour notre temps. C’est cet événement du 18.10.1914 que nous allons voir et surtout ce qu’il peut changer dans notre vie.


I. L’ALLIANCE D’AMOUR DU 18.10.1914


I.1. La préfondation du Mouvement apostolique de Schoenstatt

Dieu s’est choisi le Père Joseph Kentenich comme instrument préféré. Par sa foi profonde en la Providence divine, le Père Kentenich réussit à capter les desseins de Dieu sur lui. À ses côtés, il y eut 30 élèves de l’âge d’entre 16 et 18 ans qui étudiaient au Petit Séminaire des Pères Pallottins à Schoenstatt, un lieu situé non loin de Vallendar, au bord du Rhin en face de la ville de Coblence.

Le Père Kentenich était le Directeur spirituel de ce groupe de jeunes depuis le 27 octobre 1912. À partir de cette date, le Père Kentenich avait guidé ces jeunes sur le chemin de l’auto éducation et dans une croissance vitale et apostolique sous la protection maternelle de la Sainte Vierge Marie.

Le 19 avril 1914, ils ont fondé la congrégation mariale selon le modèle que les Jésuites avaient d’elle depuis le XVII ème siècle. En juillet de cette même année, on a mis à leur disposition une petite chapelle dédiée à Saint Michel et qui n’était plus utilisée, pour qu’ils y réalisent les activités religieuses, en rapport avec la congrégation.

Pendant les vacances qui, dans l’hémisphère nord correspondent avec mi-juillet et mi-octobre, éclata la première guerre mondiale (août 1914).

Le P. Kentenich se trouva alors devant un énorme défi, puisque beaucoup de ces jeunes devaient être enrôlés au service militaire obligatoire. Cela supposait des risques tant humains que spirituels. Il ne pouvait plus les aider personnellement et de façon directe comme il l’avait fait auparavant. Que faire alors ? Que pouvait-il faire pour que ce qu’ils avaient pu réalisé pendant deux ans ne soit perdu, plutôt que ce qui allait leur arriver leur soit un moyen d’auto éducation et de croissance spirituelle ?

Afin que les jeunes parviennent à la transformation intérieure en Christ et pour obtenir la fécondité apostolique, le P. Kentenich se confia pleinement en Marie et là il était plus sûr. Il savait que dorénavant, la Sainte Vierge devra, de façon plus directe, prendre soin et éduquer les jeunes congréganistes. Devant le fait de la guerre qui récemment venait d’exploser, le Père Kentenich chercha alors des signes de Dieu qui lui indiquèrent la manière dont il fallait adéquatement canaliser la réponse aux préocupations de la jeunesse.

I.2. Les signes de la fondation du Mouvement de Schoenstatt

Deux signes de la Providence divine ont marqué la réflexion du P. Kentenich.
Le premier signe : tombe dans ses mains un article apparu dans un journal où l’on parlait du sanctuaire marial de Pompéi.
L’avocat italien Bartolo Longo, impressionné par la corruption morale de cette ville, invita d’autres personnes à bâtir un sanctuaire de la Vierge Notre Dame du Rosaire et s’engager à prier le rosaire, en même temps créer des œuvres de charité pour les pauvres. On raconte ainsi, qu’à partir de là, surgit un mouvement de renouveau non seulement pour la ville de Pompéi, mais aussi pour le monde entier.

Le Père Kentenich cherche longuement le sens providentiel de ces signes. Il lui semble que Dieu lui parlait clairement par les circonstances. Il doit aussi risquer en demandant que la Sainte Vierge s’établisse spirituellement dans la petite chapelle de la congrégation,et qu’elle y installe son trône de grâces, et à partir de là, attirer les cœurs jeunes pour les transformer et les utiliser comme des instruments dans ses mains afin d’initier, à partir de ce lieu, un mouvement de renouveau.
Le deuxième signe : Lorsque les jeunes congréganistes rentrent de leurs vacances le 18.10.1914, le Père Kentenich les convoque pour la première fois dans la chapelle que, entre temps, il avait convenablement restaurée. C’est là qu’il prononça l’entretien qu’aujourd’hui nous connaissons comme Premier Acte de Fondation de Schoenstatt.
En cet Acte de Fondation, le P. Kentenich leur révéla son « secret et idée préférée » et les invita à demander à la Sainte Vierge de transformer ce lieu en un lieu de pèlerinage, en son sanctuaire, pour le Petit Séminaire, la province allemande des pallottins et, ajoute-t-il, « peut-être au-delà. » La Sainte Vierge allait établir là son trône de grâces et se montrer comme Mère et éducatrice pour que chacun des congréganistes atteigne « le plus haut degré possible de la perfection et de la sainteté selon son état de vie », et pour qu’elle attire jusque-là beaucoup de cœurs jeunes, les abrite en son cœur maternel, les transforme en Christ Jésus et les envoie comme apôtres avec sa bénédiction pour le renouveau du monde.
De leur côté, les jeunes s’engagèrent à apporter à Marie d’ « abondantes contributions au capital de grâces » c’est-à-dire, les forces de chacun pour sa propre sanctification au moyen de « la foi et la fidélité dans l’accomplissement du devoir et une intense vie de prière. Cela ferait « douce violence » sur le cœur de Marie afin qu’elle s’établisse spirituellement dans la petite chapelle, la transformant en un lieu de pèlerinage. Ce capital de grâces serait la preuve qu’ils prennent au sérieux leur intention et qu’ils sont décidés d’accomplir leur part dans l’Alliance. Bref, voilà ce qui s’est passé le 18.10.1014.

L’histoire qui a suivi a confirmé que le Père Kentenich ne s’était pas trompé dans l’interprétation du dessein de Dieu. Le sanctuaire de Schoenstatt est parvenu à être vraiment un lieu privilégié de l’alliance d’amour avec Marie où elle a prouvé amplement son pouvoir de médiatrice de toutes les grâces et où elle s’est montrée particulièrement comme éducatrice de l’homme nouveau en Christ Jésus et à partir d’où a surgi un ample mouvement de renouveau.

(Cf. « Twitegurire kunywana na Bikira Mariya mu Nsezerano y’urukundo, Page 54-58 – ou Ficha B-14)

I. 3. Quelle leçon les familles de Schoenstatt pourraient tirer de cet enseignement ?


L’œuvre des familles de Schoenstatt est encore jeune au Burundi et a besoin de découvrir la volonté de Dieu sur elle aujourd’hui. Pour fonder le mouvement apostolique de Schoenstatt, le Père Joseph Kentenich cherchait toujours à découvrir la volonté Dieu en interprétant les événements. Qu’est-ce que cela pourrait signifier pour nous qui appartenons à l’œuvre ? À partir de quels événements pourrions - nous baser notre recherche dans la foi? Après avoir lu le journal, le Père Kentenich appliqua le message lu sur son actualité. Et nous, quel est notre journal à lire ? Notre recherche pourrait porter sur deux aspects de notre vie : le quotidien dans nos familles en rapport avec notre devise et notre résolution.

I. 3. 1. Recherche de la volonté de Dieu selon la vie quotidienne dans nos familles

Le Père Kentenich chercha et découvrit la volonté de Dieu sur lui en lisant l’actualité dans un journal et en méditant sur l’événement de la guerre mondiale qui venait d’éclater. Nous aussi, dans nos familles, nous sommes appelés à découvrir la volonté de Dieu à partir des signes de notre temps et de ce que nous apprenons. En observant la situation actuelle des familles de notre temps, nous constatons des lacunes à partir desquelles nous pourrions découvrir notre mission selon la volonté de Dieu. Comme le Père Kentenich trouvait que la consécration à Marie était la solution la plus adéquate aux problèmes causés par la guerre mondiale ; aussi pourrions-nous découvrir la mission que peut accomplir la Sainte Vierge Marie dans les familles

confrontées à différents problèmes et différentes crises : la crise de la prière en famille, la crise l’éducation des enfants, la crise de l’amour mutuel et par voie de conséquence l’adultère qui déshumanise et détruit la société entière ; la crise du dialogue en famille, la perte de la confiance mutuelle qui engendre la rivalité ; la crise du respect mutuel et de l’obéissance, la crise de la compréhension mutuelle, La crise du pardon et par-dessus tout la polygamie, la polyandrie et le divorce pour ne citer que quelques problèmes.

La solution à tous ces problèmes n’est que la consécration à Marie pour qu’elle nous éduque, nous apprenne l’amour vrai qui est serviable, croit tout, excuse tout, espère tout, supporte tout. (Cf. 1 Cor. 13, 1-13). Il serait indispensable d’ériger des sanctuaires foyers dans nos maisons afin qu’elle y érige à son tour sa demeure et son trône de Reine couronnée à qui nous confions nos familles. Cette voie de solution du Père Kentenich dans les moments d’épreuves pourrait être une voie de solution des problèmes que connaissent nos familles aujourd’hui. Revenons souvent à notre devise « Sous la protection de Marie Reine, et selon le sacerdoce commun, soyons témoins du Christ dans nos foyers et nos communautés de base, comme le Père Kentenich »… Laissons-nous modelés par la Sainte Vierge Marie comme le Père Kentenich, afin que nous soyons des témoins du Christ et que nos familles deviennent des pépinières de l’Eglise.

I.3. 2. La recherche de la volonté de Dieu selon notre résolution

Revenons un instant sur la résolution que nous nous sommes fixée lors du camp national de formation de l’Oeuvre des familles au mois d’août 2009: « Soyons à l’écoute et au service des pauvres dans la charité ». Dans le numéro précédent, nous avons vu que nous pouvions être au service des pauvres moralement et matériellement et que l’assistance spirituelle semble la meilleure. Dans ce numéro, nous avons appris qu’après avoir construit le sanctuaire de la Sainte Vierge à Pompéi, l’avocat Bartolo Longo et ses amis ont bâti à côté de ce sanctuaire une maison pour le service des pauvres. À notre tour, dans l’Oeuvre des familles de Schoenstatt, quels pauvres voudrions-nous assister ? Peut-être dirions-nous que nous sommes aussi pauvres et que nous aimerions aussi être assistés et c’est peut-être aussi vrai. Mais Jésus nous dit :« Donnez et l’on vous donnera…Car, de la mesure dont vous mesurez on mesurera pour vous en retour.» (Lc 6, 38).

Du peu que nous avons nous pouvons aider les plus pauvres que nous et surtout lorsque nous sommes bien imprégnés de la Parole de Dieu. Est-ce que la Sainte Vierge et son enfant Jésus ne seraient pas en train de nous inviter à bâtir une maison pour le service des pauvres où nous pourrons accomplir la charité selon notre résolution de l’année : « Soyons à l’écoute et au service des pauvres dans la charité » ? Comment au niveau de notre groupe pourrions-nous mettre en pratique cette résolution ?
Et dans nos familles ? Et au niveau national de l’œuvre ?

L’apôtre Jacques nous dit : « Si un frère ou une sœur sont nus, s’ils manquent de leur nourriture quotidienne, et que l’un d’entre vous leur dise : « Allez en paix, chauffez-vous, rassasiez-vous», sans leur donner ce qui est nécessaire à leur corps. À quoi cela sert-il ? Ainsi en est – il de la foi, si elle n’a pas les œuvres, elle est tout à fait morte. » (St. Jacques 2, 15-17). Quelles œuvres pourrions-nous accomplir pour exprimer notre foi ?

Être au service des pauvres dans la charité, cela exige un certain comportement à leur égard. Premièrement : les écouter pour mieux comprendre leurs besoins et en collaboration avec eux, voir comment les aider à sortir de leurs misères. Il y en a parmi eux qui ont probablement besoin davantage d’idées et d’autres qui ont plus besoin d’aide matérielle que de conseils. Cependant, n’oublions jamais qu’une meilleure aide est celle qui offre à la personne en état de besoin matériel, une possibilité de tenir sur ses propres pieds et non pas dépendre toujours de quelqu’un.

Enfin, rappelons-nous que nos familles sont appelées à chercher toujours la volonté de Dieu à travers les événements et les circonstances de la vie quotidienne. N’oublions non plus qu’ériger un sanctuaire foyer dans notre maison et accomplir des actes de charité auprès des pauvres, surtout en ce temps de carême, est la meilleure façon de témoigner le Christ dans nos familles et dans la société selon le sacerdoce commun. Les bénédictions émanant de notre secours aux pauvres offriront à nos familles des mérites de grâces et feront d’elles de vraies pépinières de l’Eglise.



Questions :

1. Qu’avez-vous appris de cet enseignement ?
2. À l’exemple du Père Kentenich, qui cherchait toujours à découvrir la volonté de Dieu, qu’est-ce que Dieu veut de nous dans notre famille ?
3. Est-ce que nous avons réellement besoin d’un sanctuaire foyer ? Que pourrions-nous attendre de lui ?

Résolution :
Approcher les familles qui ont déjà conclu l’Alliance d’Amour pour écouter leur témoignage.

* QUELQUES INFORMATIONS

1. En date du 7/2 : La Sr.Marie NIBIZI, accompagnée par la famille Jean Bosco et Odette ont été en paroisse MAGARA, archidiocèse de BUJUMBURA pour la fondation de l’Oeuvre des familles. Au même moment, Père Evode BIGIRIMANA, accompagné par la famille Déo HAFASHIMANA et Stéphanie ont été en paroisse MINAGO, diocèse BURURI pour fonder aussi l’Oeuvre. À Minago, environ 80 familles ont répondu à l’invitation. Dieu soit loué pour son Œuvre au sein de l’Oeuvre des Familles.
2. En date du 8/2 : Au Mont Sion Gikungu, a eu lieu la rencontre des couples chefs de la ville de BUJUMBURA.
3. En dates du 13 et 14/2 : Il y a eu différentes rencontres des groupes des familles de Schoenstatt de la ville de BUJUMBURA.

TEMOIGNAGE I

Au mois de Mars de l’année passée, dans notre famille, nous avons aménagé un endroit pour le SANCTUAIRE DU FOYER. Nous avons offert la famille à la Sainte Vierge Marie. Dans notre maison, il n’y a pas moins de gens qui y vivent, chacun a ses problèmes et besoins. Avec notre force, nous sommes incapables de les satisfaire, nous les avons offerts à la MTA. Depuis ce temps-là, il nous a été vraiment un lieu de repos, de soulagement moral et spirituel; lieu de recueillement; de rencontre coeur à coeur avec la Sainte Trinité et avec notre chère Mère Trois fois Admirable.

Quand chacun de nous a des angoisses, des soucis, ou une croix peut - être difficile à porter; il suffit d’aller au sanctuaire et de prier pour se sentir soulagé. À tout problème, il suffit d'avoir confiance en la puissance de la Sainte Vierge. Ce sanctuaire du foyer a déjà produit des effets palpables: Nous avions beaucoup de problèmes dont celui de procréation et qui faisait tellement de souffrance à la famille. Nous avons fait des neuvaines, des prières dans ce sanctuaire, et ayant donné de la place à la Mère; Elle est devenue Protectrice de notre famille et a écrasé la tête du serpent qui était esprit de mort dans notre maison.

Le 27/ 01/2010 nous avons eu un bébé (RUKUNDO Zacharie). Nous disons merci à la Sainte Vierge Marie, au Dieu Tout Puissant et à tout le monde qui a contribué en priant pour notre famille. (Il y a eu beaucoup de gens : prêtres, sœurs et laïcs qui nous ont aidé à prier). À chacune des familles de donner place à notre chère Mère dans sa Maison via le sanctuaire Foyer, elle verra des merveilles.

Famille BANUZA Alexis et Sabine NSABIMANA




TEMOIGNAGE II

Frères et sœurs,

Permettez-moi de vous raconter les merveilles que la Mère trois fois Admirable a faites pour moi. Nombreuses sont-elles de façon que je ne pourrais pas vous les raconter toutes. Mon désir est que ceux qui liront mon témoignage ne doutent plus de son pouvoir d'intercession auprès de son Fils Jésus et qu'ils recourent à Elle dans une confiance totale.

Au cours de mes études primaires, je suivais bien en classe et j'obtenais de bonnes notes. Arrivée en 6ème année, j'ai eu des difficultés en mathématiques et j'ai raté le concours national. En classe, je suivais bien, mais, au concours, je n'obtenais pas plus que 10 points sur 80. Dans les autres disciplines, je travaillais très bien sauf en mathématiques. Cela me faisait assez mal.
Bien que j'étais schoenstattienne, je ne connaissais pas encore les merveilles que notre Mère pouvait faire à celui ou à celle qui se confie totalement à elle.
Un jour, un ami me rendit visite et me raconta les merveilles que la MTA lui avait faites après avoir prié la neuvaine qui se trouve dans le livret : "Jewe ngiye kwa Patiri Kentenich". À mon tour, j'ai fait la même neuvaine lui priant d'intercéder pour moi afin que j'étudie bien les mathématiques et que, au concours national, je puisse les réussir. Cette année-là, je passai le concours confiant en moi-même. La Mère était à mes côtés. Je sortis de la salle du concours sûre d'avoir réussi au moins 6 épreuves de mathématiques. J'avais une grande joie d'avoir réussi. Vous pouvez vous imaginer combien j'ai remercié notre Mère.

Odette NDAYISABA

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