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Oeuvre des Familles de Schoenstatt au Burundi

mardi 13 avril 2010

Sixième enseignement QU'EST-CE QU’UN SANCTUAIRE DOMESTIQUE DANS LE MOUVEMENT APOSTOLIQUE DE SCHOENSTATT ?

Objetif : Comprendre que la définition du Sanctuaire originel est la même pour les Sanctuaires filiaux et les Sanctuaires domestiques.

Editorial : «Sous la protection de Marie Reine, et selon le sacerdoce commun, soyons témoins du Christ dans nos foyers et nos communautés de base comme le Père Kentenich» (devise).
« Avec amour, soyons à l'écoute et au service des pauvres » (résolution)


Frères et sœurs de l'Oeuvre des familles de Schoenstatt, Nous poursuivons notre partage sur "le Sanctuaire domestique". Le Père Joseph Kentenich a bien explicité l'importance de ce Sanctuaire. Dans l'enseignement que vous lisez dans le présent numéro, vous y trouverez les propres paroles du Père Kentenich à ce sujet. Suivons ses conseils, afin que nos familles deviennent de réelles pépinières de l'Église. « L'importance du Sanctuaire domestique ne dépend pas de son aménagement, mais plutôt de ce qui s'est passé à Schoenstatt le 18/10/1914 : l'Alliance d'Amour avec la Sainte Vierge et la prière qui demandait d’ installer son trône au Sanctuaire, y distribuer des grâces pour la famille et y opérer des miracles de grâces (Premier Document de Fondation). Pendant le temps de préparation à l'accueil du Sanctuaire domestique, tous les membres de la famille et surtout le père et la mère prient beaucoup la Sainte Vierge Marie, à travers le capital de grâces, afin qu'elle accepte de s'installer dans leur maison. Le souhait de notre Mère est que tout ce que nous avons à offrir à Dieu en général, passe par le capital de grâces et obtienne une valeur ; sans oublier d'offrir nos faiblesses, nos manquements et nos péchés. Il n y a rien à négliger. Rien n'est donc inutile dans le capital de grâces y compris notre dévouement comme instruments dans les mains de la Sainte Vierge. Elle va tout transformer en une offrande digne devant Dieu, notre Père céleste.


INTRODUCTION

Notre Sanctuaire domestique, une petite chambre de lumière : C'est dans cette petite chambre que tout est renouvelé. C'est une chambre où nos pensées matérialistes cèdent aux pensées spirituelles; où nous accueillons la lumière de l'Alliance d'Amour qui illumine nos actions et notre éducation aux enfants.

Montrez-moi d'abord que vous m'aimez

« Le Sanctuaire domestique et la famille sont complémentaires. Nous pouvons avoir aménagé de bons sanctuaires domestiques, mais, à quoi servirait cela si parents et enfants ne tachaient pas eux-mêmes d'être des sanctuaires vivants de Schoenstatt ? Notre milieu familial devrait être un Centre d'amour dédié à la Sainte Vierge Marie où elle nous utilise comme des instruments dans ses mains pour l'expansion de son oeuvre. Nous voulons toujours bâtir notre vie familiale sur l'Alliance d'Amour avec Elle. Notre famille devient ainsi un chantier perpétuel ! » Le rayonnement de notre Sanctuaire domestique dépendra de notre engagement pour l'Alliance d'Amour avec notre Mère et Reine de Schoenstatt. Qu'est-ce que cela veut dire ? Le Père fondateur nous dit au nom de la Sainte Vierge : « Montrez-moi d'abord que vous m'aimez vraiment… ». Il nous est demandé d'être des sanctuaires vivants. Est-ce qu'il existe un lieu plus agréable que la famille où l'amour règne ? C'est là que l'Église est de nouveau bâtie sur de nouvelles fondations pour être une Église d'amour et Schoenstatt y rend témoignage de l'Alliance d'Amour vécue de différentes manières. Nous voulons témoigner que la famille est un lieu privilégié où la Sainte Vierge peut développer l'Alliance d'Amour si les portes lui sont ouvertes. Comme l'Alliance d'Amour se démontre à travers l'alliance avec le prochain, c'est idem pour l'amour de la Sainte Vierge. Nous ne pouvons vraiment pas aimer la Sainte Vierge Marie sans aimer nos partenaires, parents et amis.


Il y eut un homme et sa femme qui, après un court temps de mariage, posèrent la questions suivante à un couple beaucoup plus ancien: « Est-ce que la septième année de mariage, n'est pas une année d'épreuve? Les difficultés de la vie quotidienne à l'excès, ne peuvent-elles pas conduire au divorce ? Est-ce qu'après 20 ans, les conjoints, peuvent-ils encore être complémentaires?

Voici la réponse qu'ils reçurent : « Les problèmes peuvent surgir dans un couple, que ce soit après deux ans ou vingt ans plus tard. Les problèmes peuvent dépasser les limites à n'importe quel moment, surtout dans les temps modernes. Mais on peut les éviter en laissant l'amour grandir dans un foyer comme pilier principal qui le soutient. L'amour est la plus grande richesse du foyer.

Tout vrai amour unit les coeurs : « toi en moi, moi en toi, nous tous un. » Un tel amour ne perd jamais de saveur. Ton conjoint n'est pas un moyen d'assouvir tes désirs, mais, il est un don de Dieu pour toi. Il n'est pas un outil que tu peux utiliser comme tu veux, mais, il est ton partenaire que tu dois traiter avec respect. Une telle attitude, ne conduit -elle pas à la reconnaissance ? Et lorsque les conjoints sont reconnaissants, les uns envers les autres, ils font croître l’amour en eux.

Une femme mariée depuis vingt ans nous raconte la joie de la complémentarité en famille : « Même si Dieu avait fait que mon mari décède après deux années de notre mariage, ce temps m'aurait suffi pour un bonheur de toute une vie. » De quel bonheur s'agit-il ? Il s'agit d'un bonheur fondé sur l'amour à deux (conjoints) et qui se développe en amour à trois; le troisième étant Dieu et la Sainte Vierge Marie… Le chemin qui y mène n'est pas facile parce que l'amour grandit étape par étape. Par exemple : l'amour peut naître à partir d'une jolie créature : tel un beau paysage, une beauté féminine, ou une belle chanson. Ce n'est pas encore l'amour chrétien, l'amour vrai. C'est un amour égoïste : si tu ne m'aimes pas, moi non plus. Ce peut être un amour d'intérêt égoïste : je choisis ce qui me plaît, qui ne me causera pas d'ennuis et qui plaît à mes yeux. L'amour vrai n'est pas une question d'humeur. Aujourd'hui je peux être heureux à cause de ton geste d'amour, ou d'une invitation, ou même d'une caresse... Demain je peux être indifférent à tout. Un amour vrai donne et se donne; il est serviable et se détache des biens matériels. Il n'est pas égoïste. Il se donne sans mesure. L'amour vrai est désintéressé. Il n'est pas passif. Il est fidèle et actif. Aimer selon l'Alliance d'Amour, c'est cela servir, donner et se donner.

L'amour des conjoints est vrai lorsqu'il engendre l'oubli de soi pour servir l'autre. L'art d'aimer doit changer en art de souffrir pour le conjoint. « Toi tu vis pour moi, mois je vis pour toi, et nous vivons l'un pour l'autre ».
C'est uniquement sous cette condition que nous grandirons dans l'amour vrai que nous avons entre les conjoints. C'est sous cette même condition que nous serons de bons exemples pour les autres couples.
Nous utilisons parfois un slogan : "Sans argent, on ne peut pas vivre". Nous devrions toujours garder présent à l'esprit que la valeur de la famille ne dépend pas de la richesse matérielle, mais plutôt, des valeurs spirituelles qui marquent les conjoints. Savez-vous pourquoi dans tant de familles manque l'amour, c'est parce qu'elles ne donnent pas suffisamment de la place à la Sainte Vierge Marie. Lorsqu'elle reçoit un espace dans la famille, elle lui devient la Mère unificatrice à travers l'Alliance d'Amour. Aujourd'hui, beaucoup de personnes sont individualistes, une situation qui se produit parfois aussi dans les familles : "chacun pour soi et Dieu pour tous". Cette situation cause tant de souffrances et un vide intérieur que seul Dieu, notre Père céleste peut combler par la grâce de la conversion intérieur. L'Alliance d'Amour soigne la dignité de la personne humaine. La Mère trois admirable veut que le Sanctuaire domestique soit un foyer de charité dans la famille, une source de valeurs humaines qui marquent l'humanité. Le Sanctuaire domestique est le foyer de l'Alliance d'Amour. Dieu veut de nous l'amour et le dialogue. Dieu veut que nous lui offrions plutôt notre coeur que nos actions, notre pouvoir, notre succès professionnel etc. Dieu veut un dialogue sincère avec lui.

Apparemment c'est facile. Le dialogue avec Dieu nous paraît facile. Cependant, vous savez combien il nous est difficile d'entretenir le dialogue avec Dieu. Pourquoi cela ? Ainsi il est indispensable d'avoir des modèles de la prière. Ordinairement, nos relations avec nos parents dans la petite enfance influencent l'image dont nous pouvons nous faire de Dieu, une image qui peut être négative ou positive. C'est l'image positive de Dieu qui peut nous aider à bien prier.
Ainsi pouvons-nous comprendre mieux pourquoi il nous est difficile de prier et combien c'est par là que commence la voie de la sanctification. Par ailleurs, nous comprenons ici comme il nous est difficile de présenter à nos enfants la vraie image de Dieu. Voici l'exemple de sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, écrit par Hans Urs von Balthazar (...) :
«Ce qui a permis à Thérèse de faire une approche de Dieu, c'est l'amour entre ses parents (...). Cette sainte nous raconte ce qui lui est arrivé au moment de l'agonie de sa mère. Thérèse raconte : « Céline et moi étions perturbées ! Chaque matin une femme voisine venait nous prendre pour passer la journée chez elle. Un jour, nous n'avions pas trouvé le temps de prier avant d’y aller. Chemin faisant, Céline me posa la question : si elle nous demandait, allons-nous lui répondre que nous n’avons pas prié ? Je lui répondis : Bien sûr. Elle le dit ainsi à la femme. À son tour, la femme leur répondit : allez donc dans la chambre, et elle nous conduisit dans une grande chambre et nous laissa là. Céline et moi fûmes surprises, et je m'exclamai presque inconsciemment: « c'est différent avec ma mère ! puisqu’elle priait toujours avec nous"!
Maintenant que Thérèse et Céline ne sont pas avec leur mère pour prier ensemble, il ne leur est pas facile parce qu’il leur manque un appui important ...

Sinon, comment apprendre à l'enfant comment prier, d'être en contact avec Dieu, sans passer par le témoignage d'amour ? Thérèse ne cherchait pas la réponse de Dieu à ses questions en dehors de l'amour entre ses parents. Cette réponse, pour elle, se trouvait dans la prière partagée avec ses parents, frères et sœurs. À travers l'autorité de son père, Thérèse apprenait l'autorité de Dieu. Pour contempler le Père céleste, Thérèse contemplait son père terrestre (son papa). Ainsi, elle comprenait le langage de Dieu à travers le langage de son père. Dans la prière du soir, près de son père aimé, Thérèse disait : « À le voir prier, je saisis bien comme prient les saints.»
Ne voyez-vous pas qu’un tel père est le reflet du Père éternel face à ses enfants ? Ces deux pères : le Père céleste et le père terrestre forment une union visible, de façon qu’après la mort de celui-ci, Thérèse disait : «Dieu vient d'appeler celui que nous avons tant aimé. D'autre part, cela vient d'arriver, afin que nous tournions dorénavant notre regard entièrement vers notre Père céleste.»

***

Frères et sœurs, que cet enseignement vous aide à comprendre l'importance du Sanctuaire domestique et augmente en vous l'amour de la prière en famille.
Le roi David promit à Dieu de lui bâtir un temple. À son tour, Dieu lui promit protection et bénédiction à lui et à toute sa descendance. Si vous aménagez des Sanctuaires domestiques dans vos maisons pour Jésus et sa Mère, ceux-ci vous rendront le centuple.

Sr. Marie NIBIZI


Questions :


1. Quelle est l'importance de la prière en famille ?
2. Comment sommes-nous en train de nous préparer pour accueillir le Sanctuaire domestique ?
3. Que pourrions-nous faire pour cultiver l'amour de la prière en famille?


* QUELQUES INFORMATIONS

1. En date du 02 mai 2010, la branche des Familles de Schoenstatt organise, pour les couples de la mairie de Bujumbura, une rencotre « de fraternisation » au Mont Sion Gikungu dans le Centre Reine de la Confiance (chez les Sœurs de Marie de Schoenstatt) à partir de 11h 30’. Pour ceux qui le peuvent, vous êtes invités, à venir partager avec nous la messe qui comencera à 9h 30’.

2. Depuis l’année passée, les familles de la Paroisse Karizi et Mutumba se sont déssidées de se rencontrer dans différentes succursales desdites Paroisses, tous les trois mois, dans le but de renforcer l’apostolat. Si possible, l’Aumônier ou l’un de ses collaborateurs et une famille de Bujumbura sont conviés à cette rencontre.



TEMOIGNAGE I

En date du 20/03/2010, 49 couples mariés des paroisses Mutumba et Karinzi se sont rencontrés à Kabezi, une succursale de la paroisse Mutumba. La soeur Marie NIBIZI accompagnée par le couple Melchiade et Fébronie avaient répondu au rendez-vous. Dans cette rencontre, ils ont appris pas mal de choses, et surtout la mission d'un couple de Schoenstatt dans le monde d'aujourd'hui. Ce qui nous a le plus saisi (le couple Melchiade et la Sœur Maria) de leur témoignage c'est la vie de prière dans leurs familles respectives; la solidarité entre eux, l'assistance aux pauvres, l'apostolat de la réconciliation dans les familles etc.
Voici l'un de ces témoignages :
« Ces derniers mois, nous étions suffisamment éprouvés dans notre famille. Un enfant de l'un de mes frères a subi un jet de pierre à sa poitrine par un enfant du voisin. Les parents de la victime et les notables emmenèrent l'enfant blessé chez ce voisin pour lui raconter ce que leur enfant venait de faire. Le père de l'enfant leur fit mauvais accueil. Ils emmenèrent alors l'enfant blessé à l'hôpital. Deux jours plus tard, l'enfant rendit son âme à Dieu. La famille de l'enfant décédé refusa de l'enterrer et une dispute s'ouvrit entre les deux familles. Un émissaire me parvint urgemment pour me demander d'intervenir vite afin de faire la médiation et éviter le pire. Devant le fait, j'étais confus. Je me disais ceci : je suis reconnu dans la contrée comme prédicateur acharné du pardon et de la réconciliation. Maintenant, qu'est ce que je vais faire devant un tel cas ? Ce que j'ai fait : je suis rentré dans ma maison pour implorer la Sainte Vierge Marie lui demandant de m'accompagner, et jouer elle-même le rôle de médiation. Je me suis muni de mon Chapelet et mon Nouveau Testament. Tout au long du chemin, j'égrainais le chapelet. Arrivé sur les lieux, je fus davantage embarrassé par l'atmosphère qui y régnait : chagrin, désespoir, divergences..: Les uns disaient : arrêtez les parents de l’enfant et conduisez-les à la police afin que justice soit rendue... D'autres disaient : pas question d'enterrer l'enfant... d'autres disaient : exigez - leur une indemnité à l'amiable... À mon arrivée, le Père de l'enfant décédé exigea le calme et demanda mon avis. Ce que j'ai fait : J'ai demandé qu'on nous laisse retiré, la famille de la victime et moi. Avant de parler avec le papa, j’ai d'abord lu la Parole de Dieu en rapport avec l'événement et je leur ai expliqué que ce qui venait d'arriver n'était qu'un accident comme tant d'autres… Et qu'ils n'auront jamais l'équivalent de leur enfant mort. C'est grâce à l’intervention de la Sainte Vierge que la famille consentit à mes conseils. Les membres de la famille étaient tous d'accord de procéder à l'enterrement pour voir après ce qu'on pourrait faire. Tout le monde ne partageait pas mon avis. Les uns partirent pour l'enterrement, d'autres emmenèrent les parents de l'enfant malfaiteur à la Brigade. Je priais tout le temps à Notre Mère.
À la brigade, on les écouta et on les renvoya à la juridiction collinaire. J'ai compris que la Sainte Vierge avait exaucé ma prière. Quand je pris la parole au nom de la famille victime après l'enterrement, je demandai de mettre le pardon à l'avant-garde. Tout le monde n'était pas du même avis...
Ceux-ci exigèrent alors que la famille de l'enfant auteur du meurtre demande publiquement pardon. À son tour, l'assemblée des notables exigea une indemnisation de cinquante mille francs et suffisamment de bières. Je suis rentré chez moi, rendant grâce à Dieu pour les merveilles que la Sainte Vierge venait de faire en réconciliant les deux familles. »
Pour conclure son témoignage, le témoin demanda à l'assemblée des familles de Schoenstatt de témoigner de leur foi en Dieu partout où ils se trouvent comme des « témoins de la vérité ». Avec la Sainte Vierge, la volonté de Dieu sera toujours accomplie dans notre vie, a-t-il ajouté.

Sr. Marie NIBIZI


TEMOIGNAGE II (suite du témoignage dans le n° 6)

… Je voudrais encore une fois témoigner de l'amour dont notre Mère m'a aimé. Au cours de mes études secondaires, j'étais maladive, régulièrement hospitalisée et, notre Mère était toujours à mes côtés et je réussissais mes études sans problèmes. En dixième, mon état de santé devint pire. J'étais gravement malade. On me renvoya à la maison et mon année scolaire allait être déclarée blanche par les autorités de l'école. J'aurais refait l'année. C'est ma Mère qui se présenta à l'école pour me chercher et me conduire à la maison comme les autorités l'avaient ordonné.Comme je tenais à étudier, ce fut dur pour moi de rentrer à la maison au moment où les camarades de classes préparaient le test national de la dixième année qui donnait accès au cycle supérieur du lycée. Les deux premiers jours à la maison furent trop longs pour moi. Les jours suivants je retrouvais les forces et je planifiais comme j'allais regagner l'école. Quant à mes parents, leur préoccupation, c'n’était pas les études, mais, ma santé. Je me décidais alors de prier la Sainte Vierge pour mon rétablissement physique et le consentement de mes parents de me laisser retourner à l'école. La MTA m'aida à recouvrer la santé et mes parents consentirent que je retourne à l'école. Les autorités de l'école m'admirent aux inscriptions des candidats au test national et les camarades de classe m'aidèrent à prendre notes des cours appris en mon absence et à les assimiler. Je réussis au test sans problème malgré le repêchage en mathématiques. La MTA fit pour moi des merveilles. Au retour à la maison pour les vacances, mes parents avaient de la peine à me croire quand que j'avais réussi au test national. Mes bulletins le prouvaient. Ils ont fini par l'admettre. Beaucoup de personnes étaient étonnées parce qu'elles croyaient que mon année scolaire était perdue. Je le déclare: notre Mère est forte. Heureux celui qui lui fait totalement confiance et qui se consacre à elle dans l'Alliance d'amour. Elle l'élèvera et fera de lui l'ami préféré de Jésus. Auprès de son Fils, elle obtient toujours ce qu'elle demande. Je vous invite à l'aimer, ainsi vous ne serez jamais déçus.



Œuvre des familles de Schoenstatt au Burundi, Mont Sion Gikungu – B.P. 374 BUJUMBURA –
Tél. 22 23 40 72 – 77797885
e- mail : p.evodebi@schoenstatt.net
BCB : N° de compte : 00201- 0031 511- 33

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